- DAWN (AU CHOIX) BRAEDEN -
★ UNIVERSITY OF SOUTH CALIFORNIA ★
4e ANNÉE EN FILIÈRE AU CHOIX
24 ANS ★ AMÉRICAINE
née le au choix à seattle, usa.
indépendante ; franche ; impliquée
sarcastique ; exigeante ; critique
MEMBRE DE : TRI DELTA
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★★★★★ - ☆☆★★★ - ☆☆☆☆★
RÉPUTATION - RÉUSSITE SCOLAIRE - IMPLICATION
- love the way you are -la vie de dawn se résume à peu de choses : avoir tout ce qu'elle pouvait vouloir, elle a été élevée par sa mère, c'est plus ou moins l'enfant cachée de son père, celui-ci ayant eu une liaison au beau milieu de son mariage ☆ elle a connu quelques difficultés dans la vie, sa mère allant de hauts en bas ; celle-ci a d'ailleurs été longtemps sous anti dépresseurs, et dawn en veut quelque part à son père pour tout ce qu'elle a vécu pendant son enfance ☆ au lycée, dawn était une élève brillante, très intelligente mais toujours à préférer sa réputation au reste ; probablement que ce sont ses fréquentations qui ont fait ça ; mais à la fin du lycée, elle a du se rendre à l'évidence, elle n'avait pas les moyens de poursuivre ses études ☆ elle a donc travaillé pendant deux ans, jusqu'à en avoir marre des trous d'argent qui ne se remplissaient jamais ; ainsi, sans rien dire à son père, elle a fait ses valises et a débarqué chez lui, dans sa famille, à los angeles ; elle y a découvert l'existence d'un demi frère (silas) et d'une belle mère estomaquée à l'idée d'avoir été trompée.... mais femme au foyer depuis tellement longtemps que la simple idée de divorcer ne se présentait même pas ☆ dawn vit donc depuis trois ans à los angeles, avec la famille braeden, elle donne souvent des nouvelles à sa mère, de laquelle elle est très proche mais les tensions au sein de la famille sont palpables et souvent alimentées par les sarcasmes amers de la jeune femme.
"silas a. braeden"«
Alors comme ça j’ai une demi sœur ? Comme c’est intéressant… » Il n’avait rien d’une personne intègre, elle l’avait vite compris en le voyant : ils avaient tous les deux plus ou moins le même caractère mais là… Elle venait de sortir de sa douche, tout simplement enroulée dans sa serviette pour le trouver là, comme si de rien n’était. Bah voyons. «
Qu’est c’que tu fous là ? » «
Je crois bien que j’suis chez moi… » Avait-il répondu, en arquant un sourcil tout en lorgnant sur elle, de bas en haut puis de haut en bas. En quelques semaines à peine, elle avait souvent entendu parler de Silas parmi les Tri Delta, et de sa réputation qui le dépassait largement. Qu’il ne croit pas qu’elles n’en disent que du bon en tout cas. Croisant les bras sur sa poitrine, elle soupira légèrement. Oh, elle ne savait que trop bien depuis le départ que son arrivée serait perçue avec beaucoup d’animosité. Elle avait au moins espéré une demi sœur à qui elle pourrait arracher quelques cheveux. Là… Elle savait qu’elle ne faisait pas le poids et ce, malgré son côté incroyablement revanchard. «
J’ai entendu dire que t’étais un espèce de voyeur pervers, mais si tu pouvais éviter de faire ça au bout de trois semaines seulement… attends un peu plus, je serais peut-être disposée à te montrer mes seins. » Elle avait parlé avec toute l’ironie du monde, prête à le rabaisser comme il l’avait fait d’un simple regard. Ca y’est, pas étonnant que beaucoup de gens le détestent ! Elle avait détourné le regard, le temps de ramasser ses habits, prête à fuir, abdiquer pour la première fois depuis longtemps. Mais lorsqu’elle se redressa, elle manqua de percuter le jeune homme, celui-ci étant désormais bien trop près d’elle. «
Tu devrais rentrer chez toi, tu le sais ça ? T’as rien à foutre là, encore moins si c’est pour foutre ma famille en l’air parce que la tienne a été merdique… » Il avait parlé à voix basse, d’un ton menaçant. Voilà qu’elle découvrait à nouveau côté chez lui, celui du fils à sa maman… Mais c’était compréhensible, quelque part les deux mères de famille avaient été trahies par le même homme… eux deux, étaient trahis par le même homme. Bouche à moitié ouverte, elle ne trouva rien à dire, et d’ailleurs, elle n’en eut pas l’occasion. «
Et tu sais quoi, j’ai connu de meilleures vues. » Avec un regard entendu sur son décolleté qui se devinait facilement sous sa serviette. Dommage, il aurait presque pu grimper dans son estime.
«
Hey, Daaaaaaaaaaawn ! » «
Silas, déjà bourré à ce que je vois, ça doit être dans la famille… » Elle aurait pu s’attendre à ce qu’il lui fasse comprendre de s’abstenir de tout commentaire, mais il n’en fit rien, s’approchant plus ou moins chancelant de son oreille pour venir lui murmurer quelques mots. «
Elle est sexy cette robe… » Et voilà qu’elle ne savait pas comment réagir, arquant légèrement un sourcil sous l’effet de la surprise, avant de reprendre contenance. «
L’odeur d’alcool en tout cas, c’est pas sexy… » Main plaquée contre le torse du jeune homme, elle le repoussa légèrement, dans l’intention de tracer son chemin… Pas pour très longtemps puisqu’il la rejoignit à nouveau au bar, vrai pot de colle qu’il était. «
Je sais que tu penses le contraire… » Elle ne voyait absolument pas de quoi il parlait, et dans un soupir, elle détourna le regard, subitement gênée par cette omniprésence. Non, non, elle le détestait, point barre. «
Tu fais très mal semblant de pas être intéressée… » Putain mais il était bourré ou sobre finalement ?! Comme pour lui prouver le contraire, elle releva le regard, prêt à lui cracher tout ce qu’elle avait à lui balancer de haineux dans la figure. Mais les mots lui manquèrent lorsqu’elle remarqua qu’encore une fois, il était près, trop près, cet idiot. «
Je suis sûr que tu rêves… de beaucoup de choses avec moi… » Il s’aventurait définitivement trop loin, mais ce regard duquel elle n’arrivait pas à se détacher, cette impression désagréable et agréable à la fois qui la fit légèrement frissonner. Il était franchement près là ! Son esprit s’en rendait compte, mais son corps ne bougeait absolument pas. Le souffle du jeune homme venait s’écraser sur sa peau, un bref instant, ses yeux cherchèrent un secours ailleurs, mais ils retombèrent irrémédiablement dans le regard du brun. Non, impossible, surtout pas. «
J’déconne… » Dans un ricanement sarcastique, il s’écarta, repartant fièrement au milieu de la foule des autres. Peut-être qu’il s’était rendu compte qu’ils dépassaient les bornes, et qu’il avait décidé de faire demi tour au bon moment… ou peut-être qu’il ne s’était rendu compte de rien. Dans un cas ou dans l’autre, Dawn était là, figée à sa place, incapable de savoir quoi faire pour dénouer son estomac mis au supplice.